Yippee Ki-Yay ! A la simple évocation de cette exclamation de joie, vous devez avoir tout de suite compris de quoi je parle. Et oui aujourd'hui nous allons parler de Die Hard, la remarquable trilogie (oui trilogie, rien d'autre !) d'action mettant en scène Bruce Willis dans le rôle de l’exubérant John McClane.
Trilogie composée des films "Piège de Cristal", "58 Minutes pour vivre" et "Une journée en Enfer".
Et aujourd'hui si je vous parle de tout ça, c'est parce que je vais vous présenter le jeu "Die Hard Trilogy" sortie sur Playstation, Saturn et PC en 1996.
Trois pour le prix d'un !
Et la je vous vois tous trembloter en pensant à une énième adaptation de film foireuse dont on a l'habitude depuis des années. Et bien non, pas la, car déjà ce titre nous fait du bien, à nous gamers et gameuses, à l'heure ou aujourd'hui nous sommes inondé de DLC en tout genres ou encore de personnages supplémentaires achetables à 5 euros pièce. Car dans Die Hard Trilogy nous n'avons pas un seul jeu, mais bel et bien trois différents. Et oui un jeu par épisode de la saga, rien que ça. Et je peux vous assurer que chacun d'entre eux aurait pu être vendu séparément au vu de leurs qualités.
Graphiquement, les trois jeux reposent sur le même moteur, une 3D grossière, mais qui fait parfaitement l'affaire pour le support et l'époque de sa sortie, même si parfois il faut bien reconnaitre que ça pixelise méchamment. Mais le gros point fort du titre, enfin des titres plutôt, est que l'univers des films est ici parfaitement retranscrite. De plus il faut savoir que chaque jeux est assez gore, du sang vous allez en avoir à chacune de vos actions contre vos nombreux ennemies, et ça peux vite devenir une boucherie celons la situation. La première fois ça peux faire bizarre, mais ça deviens très vite vraiment jouissif de voir cette ébauche de violence complétement excessive.
Piège de Cristal.
Bon comme je vous le disais, nous avons ici à faire à trois jeux. Le premier, Piège de Cristal, reprend la trame du premier film. Nous contrôlons John dans le building ou les terroristes ont pris les occupants, et l'ex femme de John, en otage.
Il va falloir monter chaque étages de la tour pour en atteindre le sommet. Chaque étages proposent divers lieux différents. Nous débuterons dans le parking, pour atteindre la réception, les bureau, les salles des machines ....
Le jeu se joue à la troisième personnes, en TPS quoi, on récupère diverses armes différentes pour venir a bout des centaines d'ennemis qui nous veulent la peau. L'action est omniprésente, et tout le décors est destructible. C'est tellement bon de voir chaque vitres se briser en milles éclats sous l'impact de nos armes, ou les divers objets exploser à la moindre grenade envoyée.
Un excellent défouloir pourvu d'un maniabilité d'un autre age qui demandera un petit temps d'adaptation.
58 Minutes pour Vivre.
Pour le deuxième opus, 58 Minutes pour Vivre, nous sommes maintenant en présence d'un rail shooter, à la manière d'un Time Crisis ou House of the Dead.
Encore une fois nous reprenons la trame du film dans un shoot explosif. Explosif c'est le mot, car dans ce titre strictement tout à l’écran est destructible, jusqu'à la moindre petite plaque de taule posée sur le plafond.
Et voila le plus gros point fort de cet opus, c'est la possibilité de strictement tout détruire à l'écran, le sang gicle, ça pète de partout à l'écran, c'est que du bonheur ! Sans compter, comme pour le premier opus au bruitage hilarant de John, qui, par exemple, s'exclamera d'un petit "Excuse me" quand il fera péter une grenade au milieux de quinze civiles innocents.
Pour le jeu en lui même sinon, nous sommes dans un rail shooter basique, ni bon, ni mauvais, pas de grande originalité, ça reste correct.
Une journée en Enfer.
Troisième et dernier opus, Une journée en Enfer. Après un TPS et un Rail Shooter, nous voila maintenant dans un jeu de bagnole. Mais attention pas n'importe quel jeu de bagnole, ici nous voila totalement libre dans les rues de New York, ou il va falloir désamorcer une série de bombes placées dans la ville. Pour se faire il faudra rouler à 200KM dans les rues, en essayant de trouver le chemin le plus court possible pour allez faire péter les bombes en leur rentrant dedans.
Encore un fois un opus hyper jouissif ou vous allez devoir dévaler à fond chaque rues et ruelles de la vile en écrasant tout les malheureux qui passerons devant vous, ce qui laissera une jolie flaque de sang sur le pare brise que vous nettoierez avec vos essuies glaces. La ville est hyper vivante et chaque stages vous fera parcourir les endroits les plus connu de New York et sa banlieue.
Attention le jeu est assez difficile et certain niveau sont millimétrés à la seconde prêt.
Une bonne adaptation, ça existe !
Voila tout pour Die Hard Triloy, une véritable bombe sur Playstation, et qui plus est, repris d'un film, et c'est tellement rare d'avoir de bonnes adaptions de jeu repris du cinéma, qu'avec ce titre on ne va pas se gêner pour sauter dessus.
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